Si par hasard, vous êtes dans le même cas que moi et que vous avez des difficultés à gérer certaines paroles et que par moment, vous avez du mal à vous exprimer, cet article va vous intéresser.
Passons à une explication plus fun !
Sketch : L’étudiant rebelle
Personnages : Mathias, Yasser
Mise en situation
Pendant le cours d’histoire, Yasser n’écoute pas Monsieur Mathias ce qui l’agace fortement.
Il lui fait plusieurs remarques mais, Yasser insolent, n’écoute pas et continue à parler, à crier et à jeter des boules de papiers.
Arrivé en fin de cours, Mathias convoque Yasser afin de lui parler seul à seul pour qu’il puisse comprendre le problème.
Yasser qui n’a pas de communication, s’énerve et commence à hurler sur Monsieur Mathias, ce qui mène à une violence venant du prof qui le prend par le t-shirt.
Solution
Un élève voyant la scène, décide d’intervenir pour calmer les tensions car ça ne sert à rien.
Il décide d’être l’intermédiaire entre les deux, pour qu’ils puissent arriver à avoir une communication non-violente.
Mathias et Yasser, décident de s’expliquer calmement en s’exprimant sur ce qui ne vas pas.
Tous les deux, décident de prendre des résolutions pour les prochains cours se passent bien sans avoir de communication non-violente.
Il existe deux types de communication
La communication violente
C’est une communication qui est agressive ou une personne utilise des mots qui peuvent blesser. Cela, peut être utilisée pour utiliser, manipuler une personne ou pour réussir à avoir ce qu’on veut.
La communication non-violente :
C’est une communication ou on écoute attentivement la personne en face de nous et ou on la respecte sans la juger.
La différence ?
La communication violente, on est égoïste tandis que la communication non-violente, on pense aussi à l’autre.
Développement de la communication
La communication a été développé dans les années 1960 par un psychologue américain Marshall Rosenberg qui a développé les principes de la communication.
Les étapes de la communication non-violente
Il existe 4 étapes, pour réussir à adapter correctement une communication non-violente.
La première étape, il faut observer sans aucun jugement et par la suite, exprimer ce qu’on constate, ce qu’on voit.
La deuxième étape, il faut savoir exprimer notre ressenti.
En sachant, qu’il existe 4 émotions de bases qui sont etre faché, etre triste, etre anxieux et etre joyeux.
On peut s’exprimer en disant “cela me blesse, cela me touche, cela m’énerve, je suis déçue,… »
La troisième étape, il est important de dire ce qu’on trouve important, ce qu’on a besoin, les valeurs qu’on veut et ce qu’on veut qu’il soit respecté.
Exemple : il a toujours été important que… j’aimerais que… ce qui compte pour moi…
Pour conclure, la dernière étape qui est la quatrième est d’indiquer ce qu’on attend de l’autre.
On doit pouvoir dire quels sont nos souhaits, nos propositions ou ce qu’on en conclue.
Exemple : j’aimerais te demander de… j’insiste pour que tu… je veux que tu ne tardes pas à…
Pourquoi avons-nous une mauvaise communication ?
Il est possible d’avoir une mauvaise communication si nos émotions prennent le dessus, si on n’a pas une bonne position ou si, on n’a pas d’outils nécessaire pour exprimer ce qu’on ressent.
On peut réussir à distinguer deux formes de communication, celle du chacal et celle de la girafe.
Pour faire simple, le chacal culpabilise, juge, reproche et manipule.
Au contraire de la girafe qui elle, est ouverte, respectueuse, s’exprime et ne juge pas.
Ce qu’on retient, c’est que pour avoir une bonne communication, il faut prendre exemple sur la girafe.
Passons aux choses sérieuses
Je vous présente une vidéo d’Hanane Bakali que j’ai trouvé en scrollant sur Instagram et regarder son compte, elle travaille sur la communication non-violente en tant que coach.
Hanane est coach certifiée de chez linkup coaching et elle est aussi formatrice.
Le commencement :
Pendant la période de confinement, elle a décidé de proposer un outil pour aider à avoir une meilleure harmonie.
Pourquoi elle a choisi ce travail ?
Dans la vidéo, elle explique que durant ces 15 années d’expérience dans la relation d’aide, elle s’est particulièrement intéressée par la cnv qui est la communication non violente.
Elle a participé à des heures de stages certifiés.
La base :
CNV = un arbre de dialogue, elle nous aide à nous connecter à ce qui est vivant en nous.
La cnv, se base sur l’expression des émotions et des sentiments.
Elle encourage la paix, l’empathie et la coopération.
On parle surtout de OSBD,
-O : observation
-S : sentiment
-B : besoin
-D : demande.
C’est une façon de penser, de parler pour permettre la compréhension et le respect mutuel dans les échanges afin, d’apaiser les conflits.
Elle permet d’éviter des problèmes qui mènent à saturation et de développer notre intelligence émotionnelle en apprenant à se relier à ses émotions afin, de voir ce qu’on a besoin réellement.
Pour elle, c’est quoi qui génère une communication violente ?
- Des jugements ?
- Des interprétations ?
Oui, effectivement.
Elle explique que c’est pour cela, qu’elle insiste sur l’observation qui est décrite sur ce qu’on voit et entend.
L’observation, est un point important car, il permet de distinguer ce qu’on voit et ce qu’on pense.
Il est important, de bien formuler nos observations sans opinion d’interprétation.
Comment la contacter ?
Hanane Bakali, a un compte Instagram publique ou on peut lui envoyer un message pour la contacter.
Elle a aussi un lien dans sa bio qui mène sur un site pour s’inscrire et prendre un rendez-vous si, on souhaite faire un coaching ou une formation.
Hanane, fait aussi des podcasts et des lives sur Instagram, elle répond aux questions posées.
Comment avoir un rendez-vous ?
Vous pouvez prendre rendez-vous via ce lien :
Hananebakali-coaching.com/calendly.
Apprendre à mieux communiquer :
J’en conclu avec un message de la part de Jessica Pirbay qui est une sexothérapeute et formatrice que j’ai connu grace à Tiktok en tombant sur une vidéo d’elle expliquant différent sujet comme: “mieux communiquer grace à la cnv”.
Selon Jessica Pirbay, il faudrait arreter le “je” ou “tu” avec des reproches car l’autre personne souvent se sent attaquée, elle va etre sur la défensive et par la suite, on entrera dans un cercle vicieux avec des reproches qu’on fait l’un sur l’autre et cela n’aide pas 2 personnes car l’idée, c’est de trouver une solution pour etre une “équipe” et non pas des “ennemis”.
La différence avec “tu”, c’est qu’il faut plutôt utiliser “je me sens comme ça quand il se passe ça”, “j’ai l’impression que…” “j’aimerais que…”.
Conclusion
Grace à cette article, j’ai pu apprendre de nouvelles choses pour améliorer ma communication.
J’espère que ce sera le même cas pour vous en lisant mon article.
Maroua